Qui n’a pas rêvé un jour de dupliquer les billets de banque à l’infini ? Sachez que c’est possible, cher lecteur. Cela ne relève d’aucun miracle, se produit régulièrement et le plus naturellement du monde. Mais au risque de vous décevoir, cette activité n’est pas faite pour vous. C’est l’apanage des banques centrales ; dans leur jargon, on appelle cela la “création monétaire” – ou planche à billets, si vous préférez. Une pratique des plus communes quand on a quelques soucis de liquidités.
Regardez du côté de la Fed et du grand faiseur d’argent qu’est Ben Bernanke. Eh bien la BCE, auparavant réfractaire à l’idée, semble changer son fusil d’épaule. Nous avons appris la semaine dernière qu’elle étudiait toutes les alternatives possibles à son programme de rachat d’obligations souveraines. De là à prendre des mesures d’assouplissement quantitatif, il n’y a qu’un pas… car oui, il faut bien “sauver la zone euro”.
Ne vous leurrez pas : faire tourner la planche à billets ne résout rien et va par ailleurs générer de l’inflation. Cela d’autant que la BCE prête presque sans compter aux banques, à un taux des plus intéressants (1%). De l’argent qui, je le rappelle, est en partie réemprunté par les Etats. Sachant que la France s’est dernièrement refinancée à un taux de 3,10%, cela laisse tout de même aux banques 2,10% d’intérêts dans la poche. Cette belle opération devient un très joli coup financier quand il s’agit de prêter à des pays comme l’Italie qui emprunte à 6,10%… Bon, je vous l’accorde, trouver 400 milliards en 2012 dans ces conditions de marché très volatiles va devenir sans doute compliqué. Mais ce qui est pris est pris. Et en l’occurrence très facilement. Décidément, les banques jouent sur tous les tableaux et savent clairement profiter de la situation.
Ce n’est pas parce que le CAC 40 est en hausse de 5% depuis le 1er janvier que l’on est sorti de l’impasse. Le 1er semestre risque d’être encore agité. Les banques ont certes réalisé +35% sur les cinq derniers jours, mais il me semble toujours prématuré de s’intéresser aux bancaires qui sont loin d’en avoir terminé avec leurs problèmes de dettes, bilans et autres casseroles du genre.
SCPI PFO2 : profitez du prix 2011 avant revalorisation
En 2011, les épargnants ont redécouvert les SCPI. Un véritable engouement de plus d’un milliard d’euros sur des SCPI de rendement (et d’un milliard d’euros en SCPI de défiscalisation comme les “Scellier”). Le rendement moyen 2010 s’établit à 5,6% et devrait rester stable sur 2011. Malgré la crise, les perspectives restent assez bonnes pour 2012. C’est toujours une valeur refuge par rapport aux investissement obligataires ou actions.
PFO2 est une SCPI diversifiée et spécialisée en immeubles de bureaux respectant les normes en matière environnementale. Vous savez que d’habitude, j’apprécie plus particulièrement les SCPI de murs de boutique, les bureaux étant plus corrélés à la crise. Mais avec ces engagements énergétiques, le patrimoine de PFO2 séduit les locataires, avec à la clé une facture énergétique moindre. Dans un espace concurrentiel, cela est déterminant pour le choix d’espaces de bureaux. C’est la garantie d’un rendement élevé, basé sur un patrimoine de qualité et diversifié. Le rendement 2011 devrait ressortir entre 5,40% et 5,60%. Comparé aux maigres 3% nets des fonds euro des contrats d’assurance-vie, voilà un argument de poids pour diversifier votre patrimoine.
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Aujourd’hui, je vous informe de la possibilité d’y souscrire au prix 2011 à 178 euros la part (un minimum de 30 parts est demandé aux nouveaux souscripteurs). Le prix de la part sera revalorisé au 1er février à 182 euros. Soit une revalorisation de 2,25% immédiate. Donc une future performance globale de l’ordre de 6,60% sur 2012 (au prorata temporis) mais avec la plus-value qui est faite dès le départ. Pour pouvoir bénéficier de cette offre, il est indispensable que le bulletin de souscription soit parvenu chez Perial avant le 31 janvier 2012. Ne perdez donc pas de temps si cela vous intéresse.