1- Girouette
« Je suis candidat. Et quel que soit le calendrier judiciaire, je m’en remets au suffrage universel. (…) La justice n’a pas à dicter le calendrier démocratique », a assuré François Fillon dans un entretien paru dans Midi Libre, soulignant qu’« abandonner une course, pour un pilote, ce n’est pas naturel »…
Il est loin le temps où, au JT de TF1, François Fillon affirmait qu’une mise en examen pourrait « l’empêcher d’être candidat ». « Il n’y a qu’une seule chose qui m’empêcherait d’être candidat, c’est si mon honneur était atteint, si j’étais mis en examen« …
Ah bah non, c’était le 26 janvier dernier !
2- Censure
« Penelope est prête à parler, mais pour l’instant je ne suis pas pour. C’est à moi de monter en première ligne… », a affirmé François Fillon à l’hebdomadaire Paris Match le 16 février dernier.
Faudrait quand même pas laisser la principale intéressée s’exprimer…
3- Sans commentaire
« Quand vous êtes collaborateur ou assistant parlementaire, vous pouvez même être payé à tricoter », dixit Florence Portelli, la maire LR de Taverny, ce 1er mars sur BFMTV…
Parfois, le silence est d’or…